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101 conseils pour progresser en course à pied

101 conseils pour progresser en course à pied

23 minutes de lecture

À l’occasion de la Journée nationale de la course à pied, voici les meilleurs conseils d’entraînement de tous les temps – pour les débutants, les coureurs expérimentés, les marathoniens et tous ceux qui se situent entre les deux.

« Arrête de te battre ! »

C’est ce que m’a crié un autre marathonien il y a quelques années, au milieu d’un marathon très venteux, en aller-retour.

101 conseils pour progresser en course à pied

« Ne lutte pas contre le vent »

M’a-t-il dit. « Attends le tournant, puis accélère l’allure quand le vent est dans ton dos.

La simplicité même de ce conseil ! Jusqu’à ce qu’il le mentionne, je m’étais accroché. Au diable le vent, j’allais maintenir mon rythme ou mourir en essayant. Grâce au conseil de ce marathonien chevronné, je n’ai fait ni l’un ni l’autre. J’ai fini par faire une belle course.

Depuis, je me suis souvenu de ce conseil lors de chaque course avec du vent. C’est ce qui fait la force d’un bon conseil : Comme un ami de confiance, il sera toujours là quand vous en aurez besoin.

Voici 101 autres conseils mémorables sur la course à pied, glanés auprès d’experts d’hier et d’aujourd’hui.

101 conseils pour progresser en course à pied

  1. Relever le défi
    « Tout le monde est un athlète. Mais certains d’entre nous s’entraînent, et d’autres non ». -George Sheehan, coureur/écrivain/philosophe
  2. Visez ceci (au moins)
    « Courir 12 à 24 km par semaine augmente de manière significative votre capacité aérobique et a un effet positif sur de nombreux facteurs de risque coronarien ». -Kenneth Cooper, pionnier de l’aérobic
  3. Soyez minutieux
    « La plus grande erreur que commettent les nouveaux coureurs est qu’ils ont tendance à penser en termes d’incréments de kilomètres – 1 km, 2km, 3km. Les coureurs débutants doivent penser en minutes, pas en km. -Budd Coates, quatre fois qualifié pour les sélections olympiques américaines de marathon et entraîneur.
  4. Portez de bonnes chaussures de course
    « Dépensez au moins 60 dollars. Une bonne paire de chaussures de course devrait durer 650 à 1000 km et constitue l’un des achats les plus importants que vous ferez ». -John Hanc, auteur de The Essential Runner (Le coureur essentiel)
  5. Voyez grand (et large)
    « Achetez toutes les chaussures, de ville ou de course, légèrement plus longues et plus larges que votre pied le plus grand. Évitez également les chaussures pointues. Vous vous épargnerez ainsi des douleurs inutiles aux pieds ». -Ted Corbitt, coureur d’ultrasons et marathonien olympique en 1952
  6. Faites le « test de la conversation »
    Le « talk test » signifie que vous courez à un rythme suffisamment confortable pour converser avec un partenaire d’entraînement, mais pas au point d’atteindre les notes aiguës d’un opéra italien. -Rédacteurs du Runner’s World
  1. Écoutez le grondement
    « Si vous avez envie de manger, mangez. Laissez votre corps vous dire ce qu’il veut ». -Joan Samuelson, championne olympique du marathon en 1984
  2. Détendez-vous au maximum
    « Lorsque vous courez, laissez votre mâchoire pendante, ne comprimez pas vos épaules près de vos oreilles et secouez de temps en temps vos mains et vos bras pour rester détendu. » -Dave Martin, docteur en physiologie de l’exercice.
  3. N’écrasez pas l’œuf
    « Ne serrez pas les poings à l’extrême. Au lieu de cela, courez avec une main en coupe, les pouces reposant sur les doigts, comme si vous protégiez un œuf dans chaque paume ». -Rédacteurs du Runner’s World
  4. Prenez le temps de faire un petit câlin
    « Si je n’ai que 15 minutes à ma disposition, je cours quand même. Un quart d’heure de course vaut mieux que pas de course du tout ». -Dr Duncan Macdonald, ancien détenteur du record américain du 5000 (établi lorsqu’il était à l’école de médecine)
  5. Respectez la règle de conduite numéro un
    « Courir à contre-courant de la circulation permet au coureur de prendre les commandes. Quiconque est alerte et agile devrait pouvoir rester en vie ». -Dr George Sheehan
  6. Essayez de courir à midi
    « La course à pied à midi offre un triple avantage : la lumière du jour, une pause dans la journée de travail et la possibilité d’éviter un déjeuner trop copieux. -Joe Henderson, coureur/écrivain
  7. S’échauffer, puis s’étirer
    « Essayez de faire un peu de jogging ou de marche avant de vous étirer, ou étirez-vous après avoir couru. Étirer des muscles ‘froids’ peut faire plus de mal que de bien ». -Rédacteurs du Runner’s World
  8. Restez « liquide »
    « Hydratez-vous. Hydratez-vous. Hydratez-vous ! Par temps froid et par temps chaud. L’eau nous sert à transpirer, à lubrifier les articulations, les tendons et les ligaments, et à transporter efficacement le sang vers les principaux organes. Je travaille toute la journée à m’hydrater ». -Dr Alex Ratelle, ancien grand coureur de masters
  9. . . . Mais soyez modéré
    « La bière est-elle bonne pour les coureurs ? Bien sûr… si c’est l’autre qui la boit ». Jim Fixx, auteur du best-seller sur la course à pied, The Complete Book of Running (Le livre complet de la course à pied)
  10. Soyez à l’écoute !
    « Vous devez écouter votre corps. Courez malgré la gêne, mais pas contre la douleur ». -Dr George Sheehan
  1. Créez votre propre credo de course
    Tout mon enseignement tient en une phrase : « Courez lentement, courez tous les jours, buvez modérément et ne mangez pas comme un cochon » : « Courez lentement, courez tous les jours, buvez modérément et ne mangez pas comme un porc. -Ernst van Aaken, entraîneur allemand de renom
  2. Soyez prêt à jouer
    « Le fitness doit être amusant. Si ce n’est pas le cas, il n’y aura pas de remise en forme. Le jeu est le processus. La forme physique n’est que le produit. -Dr George Sheehan
  3. Prenez ce que vous pouvez
    Les « séances faciles », ces kilomètres lents effectués les jours faciles ou pendant l’échauffement, comptent. Ils brûlent des calories aussi efficacement que les kilomètres rapides, mais cela prend plus de temps. Quel que soit le rythme, chaque kilomètre parcouru brûle environ 100 calories. -Hal Higdon, coureur/écrivain/entraîneur
  4. Apprenez de vos erreurs
    « C’est par essais et erreurs que l’on découvre le niveau d’entraînement optimal. Si je trouvais que je m’entraînais trop dur, je reculais d’un jour ou deux. Je n’ai pas couru pendant 5 jours avant d’atteindre le seuil de 4 ». -Sir Roger Bannister, premier homme à dépasser les 4 minutes pour le mile en 1954.
  5. Osez être différent (mais pas idiot)
    « À l’entraînement, n’ayez pas peur d’être bizarre, excentrique ou extrémiste. Ce n’est qu’en osant aller à l’encontre de la tradition que l’on peut apprendre de nouvelles méthodes d’entraînement. L’astuce consiste à reconnaître rapidement lorsqu’une nouvelle approche est contre-productive ». -Benji Durden, marathonien olympique américain de 1980
  6. Recherchez un carburant rapide et pauvre en graisses
    « Les barres énergétiques sont un bon aliment portable pour les coureurs. Recherchez des barres contenant 4 grammes de matières grasses ou moins pour 230 calories. Les matières grasses ralentissent la digestion. -Liz Applegate, docteur en nutrition sportive
  7. Visez l’objectif
    « Je crois qu’il faut utiliser les courses comme des facteurs de motivation. Il est difficile de suivre un programme d’exercice si l’on n’a pas d’objectif important en vue. -Bob Greene, entraîneur personnel d’Oprah Winfrey
  8. Voyez grand… mais ayez une petite gomme à effacer
    « Réfléchissez d’abord à vos objectifs d’entraînement, puis écrivez-les. Faites-le au crayon, afin de pouvoir modifier certains détails lorsque la réalité s’imposera. » -Jeff Galloway, coureur olympique, auteur et entraîneur
  9. Faites preuve de bon sens
    « Pendant l’entraînement sur des distances longues et lentes, vous devez vous considérer comme un pur-sang déguisé en cheval de labour. Inutile de vous trahir en courant vite ». -Marty Liquori, commentateur de course à pied et ancien miler de classe mondiale
  10. Construire avec soin
    « Si vous posez de bonnes fondations solides, vous pouvez ensuite construire une pièce après l’autre et vous aurez bientôt une maison. Après le kilométrage de base, ajoutez les côtes, le travail sur le rythme, le travail sur la vitesse et enfin la stratégie de course. Rod Dixon, athlète olympique néo-zélandais et champion du marathon de New York en 1983
  11. Voir la situation dans son ensemble
    « La question de savoir si l’on doit courir sur les talons ou sur les orteils ne mérite guère d’être débattue. L’essentiel dans la course de fond est l’endurance et la manière de l’obtenir ». -Clarence DeMar, sept fois champion du marathon de Boston et marathonien olympique américain.
  12. Débarrassez-vous de tout ce qui vous encombre
    « Jetez votre chronomètre à 10 fonctions, votre moniteur de fréquence cardiaque avec l’impression de l’ordinateur, votre journal d’entraînement, vos sous-vêtements high-tech, vos tableaux de cadence et vos chaussures haut de gamme avec contrôle de l’humidité, doublées de gel et testées en laboratoire par des rats. Courez avec votre propre imagination ». -Lorraine Moller, médaillée de bronze au marathon aux Jeux olympiques de 1992
  13. Écoutez votre corps (oui, encore !)
    « Votre corps essaie toujours de vous dire où vous en êtes. Méfiez-vous lorsque vous devenez fatigué et apathique, lorsque vous perdez tout intérêt pour les séances d’entraînement et que vous les abordez comme une corvée plutôt que comme un plaisir ». -Dr George Sheehan
  14. Soyez constant
    « La régularité au jour le jour est plus importante que les kilomètres parcourus. Vous n’êtes alors jamais pris au dépourvu le lendemain ». John Campbell, ancienne star des masters de course à pied en Nouvelle-Zélande
  15. Trouvez la bonne proportion
    « Si vous courez 50 km par semaine, environ 7 d’entre eux, soit environ un quart, doivent être des kilomètres de qualité. Les kilomètres de qualité augmenteront votre capacité aérobique ». -Owen Anderson, Ph.D., auteur d’articles sur la course à pied
  16. Ne vous ennuyez pas
    « Une course de 40 minutes ponctuée d’une demi-douzaine d’accélérations de 30 secondes (pas de sprints à tout va) peut vraiment donner du piquant à une course d’entraînement autrement ennuyeuse. -Amby Burfoot, rédacteur en chef de Runner’s World et champion du marathon de Boston en 1968.
  17. Soyez un « mangeur croisé »
    « Tout comme l’entraînement croisé, l’alimentation croisée ajoute la variété nécessaire à votre régime alimentaire et à votre vie. Élargissez votre répertoire nutritionnel en essayant un nouvel aliment chaque semaine. -Liz Applegate, Ph.D.
  18. Reprendre en douceur
    « Après une course, ne vous précipitez pas dans la vie. Prenez quelques minutes pour marcher, vous étirer, vous détendre, méditer ». -Rédacteurs du Monde du coureur
  19. Ne forcez pas sur les tissus
    « Des étirements trop agressifs peuvent en fait augmenter le risque de blessure. -Tim Noakes, docteur en médecine, auteur de Lore of Running
  20. Penser globalement, agir localement
    « Nous avons établi nos programmes d’entraînement par tranches de trois semaines. Mon entraîneur et moi savions quel était mon objectif immédiat – ce que j’essayais d’accomplir au cours des trois semaines suivantes. Mais au fond de moi, il y avait l’objectif ultime : ce que je voulais faire dans plusieurs mois. Bob Kennedy, détenteur du record des États-Unis du 5000 mètres
  21. Privilégier l’esprit au travail
    « N’importe quel idiot peut s’entraîner jusqu’à l’épuisement ; l’astuce consiste à faire l’entraînement qui vous rend progressivement plus fort. -Keith Brantly, marathonien olympique américain
  22. Amusez-vous lors de vos sorties faciles
    Je m’assure de faire des courses d’entraînement vraiment agréables, en n’oubliant pas de « sentir les roses » en cours de route. De cette façon, je ne me laisse pas piéger par le syndrome « l’entraînement c’est tout ». -Sue Stricklin, grande coureuse de masters des années 1970
  23. Amusez-vous lors de vos courses difficiles
    « Faites des exercices difficiles qui vous plaisent. Les répétitions de kms et les quarts d’heure sont plus amusants pour moi que le fartlek. [Je me sens mieux dans ma course lorsque je fais les entraînements que j’aime et dont je sais qu’ils me sont bénéfiques. -Dan Cloeter, double vainqueur du marathon de Chicago
  24. Restez ouvert d’esprit
    « Lorsque vous essayez un nouveau type d’entraînement, pensez comme un débutant. Ce n’est pas parce que vous pouvez courir 30 kms tous les dimanches que vous pouvez survivre à 10 x 400 mètres sur la piste d’athlétisme à un rythme rapide. -Jack Daniels, physiologiste de l’exercice, entraîneur et ancien pentathlète de classe mondiale.
  25. Soyez un chameau intelligent
    « Avant votre course longue, placez des contenants de boisson pour sportifs sur votre parcours, même si vous devez les enterrer. » -Rédacteurs du Runner’s World
  26. Travaillez votre grognement
    « La course longue met le tigre dans le chat. -Bill Squires, entraîneur de marathon
  27. Ne regardez pas toujours votre montre
    « Je ne porte pas de montre pendant mes courses longues. Ainsi, je ne suis pas tentée de comparer mon temps d’une semaine à l’autre ». -Lynn Jennings, triple championne du monde de cross-country
  28. Se reposer en toute sérénité
    « Revenez sur vos pas dès les premiers signes de blessure. Trois à cinq jours de repos valent mieux qu’un mois ou deux d’absence. Prenez régulièrement des jours de repos. -PattiSue Plumer, double championne olympique américaine
  29. Diviser pour mieux régner
    « Choisissez chaque année une chose que vous devez améliorer et travaillez-y. Il peut s’agir d’améliorer votre alimentation, de dormir davantage ou d’augmenter votre kilométrage. Vous ne pouvez pas tout faire en même temps. -Bob Kennedy
  30. Rejoindre la résistance
    « Les collines sont le seul type d’entraînement en résistance bénéfique pour un coureur. Arthur Lydiard, entraîneur olympique néo-zélandais
  31. « Faites de l’exercice avec des copeaux
    « Pensez à la combinaison poitrine/hanches/poussée, ou CHP, quand il s’agit de courir en montée. Poitrine haute, hanches vers l’avant, poussée forte sur chaque pied ». -Jeff Galloway
  32. S’adapter ou s’affaiblir
    « La course en côte casse votre rythme et oblige vos muscles à s’adapter à de nouvelles contraintes. Résultat ? Vous devenez plus fort. -Eamonn Coghlan, athlète olympique irlandais et seul athlète de 40 ans à avoir franchi la barre des 4 minutes au mile
  33. Augmentez l’effort
    « Passez progressivement à une séance d’entraînement en côte, en effectuant les premières répétitions de façon modérée et en augmentant l’effort au fur et à mesure. -Frank Shorter, champion olympique de marathon en 1972
  34. Évitez les inconvénients
    « L’avantage de courir des côtes sur un tapis roulant est que vous pouvez les monter sans avoir à vous battre de l’autre côté. -Ken Sparks, Ph.D.
  35. Augmentez la vitesse
    « Si vous vivez en plaine, vous devrez faire preuve de créativité pour vous entraîner en côte. Les rampes d’autoroute désertes ou les garages de parking sont des possibilités, bien qu’ils posent des problèmes de sécurité évidents. Vous pouvez investir dans un tapis roulant ». -Bob Glover, coureur, auteur et entraîneur
  36. Accrochez-vous à la corde
    « Si vous vous efforcez de gravir une pente raide, imaginez qu’une corde est attachée au centre de votre poitrine et qu’elle vous tire régulièrement vers le sommet. -Jeff Galloway
  37. Se pencher
    « Lorsque je descends, je m’appuie sur la colline. Je sais que je fais bien les choses si j’ai l’impression que je vais tomber sur la tête ». -Ed Eyestone, chroniqueur, entraîneur et double marathonien olympique américain.
  38. Gardez quelque chose pour le sommet…
    « N’attaquez pas une colline par le bas : elle est plus grande que vous ! -Harry Groves, célèbre entraîneur de Penn State
  39. . . . Ensuite, décollez !
    « J’ai toujours trouvé efficace dans une course de faire un mouvement juste avant la crête d’une colline. Vous prenez un peu d’avance et vous êtes parti avant qu’ils ne franchissent le sommet ». -John Treacy, double champion du monde de cross-country en Irlande Speed Training and Racing
  40. Passez à l’action
    « La différence entre un joggeur et un coureur est un blanc d’entrée dans la course. -Dr George Sheehan
  41. Prenez de la vitesse
    « Trois tours de piste au rythme d’une course de 5 km avec un court jogging de récupération entre les deux ne devrait effrayer personne – et cela améliorera votre vitesse. » -Frank Shorter
  42. La qualité, c’est tout
    « La qualité compte si vous voulez rester rapide. Ne faites pas toutes vos séances d’entraînement dans votre zone de confort. -Ken Sparks, Ph.D., marathonien de haut niveau.
  43. Gardez le contrôle
    « Faites votre propre course à un rythme régulier. Tenez compte du parcours, de la température, du temps qu’il fait et, surtout, de votre niveau de forme actuel. -Marty Liquori
  44. Soyez flexible (ou pas)
    « L’idée qu’il ne faut pas perdre le contact avec les leaders a coupé plus de gorges qu’elle n’en a sauvé. -Arthur Lydiard
  45. Faire une passe
    « Dépasser les concurrents vous donne toujours un coup de fouet. Cela a probablement un effet physique aussi, parce que vous avez une poussée d’adrénaline ». -Libbie Hickman, marathonienne de classe mondiale
  46. S’en remettre
    « Si vous avez fait une mauvaise séance d’entraînement ou une mauvaise course, accordez-vous exactement une heure pour ruminer, puis passez à autre chose. -Steve Scott, entraîneur et détenteur du record américain du mile
  47. Soyez patient
    « Attendez-vous à faire 6 à 10 séances d’entraînement réussies sur piste avant de commencer à voir des résultats dans vos courses. -Marc Bloom, coureur/écrivain/entraîneur
  48. Gardez le doigt sur le pouls
    « Si votre pouls matinal est supérieur de 10 battements ou plus à votre moyenne, c’est que vous n’avez pas récupéré de l’entraînement de la veille. Prenez le temps de vous reposer ou de revenir en arrière jusqu’à ce qu’il revienne à la normale. -Dr George Sheehan
  49. Mélangez-les
    « L’entraînement en fartlek peut vous aider à développer votre force et votre endurance, à apprendre le rythme de la course et à pratiquer des tactiques de course, le tout en une seule séance d’entraînement. -Bill Dellinger, ancien entraîneur de l’Université de l’Oregon et médaillé de bronze au 5000 aux Jeux olympiques de 1964.
  50. Faire un nœud
    « Je fais un double nœud aux lacets de mes chaussures. C’est pénible de défaire ses chaussures après coup – surtout si elles sont mouillées – mais c’est aussi pénible de s’arrêter au milieu de la course pour les nouer ». -Hal Higdon
  51. Observer certains rituels
    « Une fois que vous avez trouvé une routine d’échauffement qui fonctionne, répétez-la aussi souvent que possible » -Ted Corbitt
  52. S’échauffer, ne pas s’épuiser
    « Au maximum, trottinez facilement pendant 15 minutes avant une course. Ensuite, étirez vos ischio-jambiers, quadriceps, mollets et bas du dos. À une quinzaine de minutes de la fin de la course, faites peut-être quelques foulées. Mais pas plus – vous vous échaufferez suffisamment au début de la course ». -Mark Plaatjes, vainqueur du marathon aux Championnats du monde 1993
  53. Portez la bonne paire
    « Des chaussures de course plates et légères peuvent vous aider à courir un 5-K plus rapidement, mais des chaussures de sport légères (avec une meilleure protection et un meilleur amorti) sont un meilleur choix pour la plupart des coureurs, en particulier pour les courses plus longues. » -Bob Wischnia et Paul Carrozza, experts en chaussures de Runner’s World
  54. Finissez-en
    « Pour développer votre coup de pied, terminez chaque répétition plus rapidement que vous ne l’avez commencée. Par exemple, si vous courez 6 x 400 mètres sur la piste, commencez à un rythme régulier et contrôlé, puis changez subtilement de vitesse dans les 100 ou 200 derniers mètres. -Robert Vaughan, docteur en physiologie de l’exercice et entraîneur
  55. Restez dans le rythme
    « Il vaut mieux courir trop lentement au départ que trop vite et se retrouver en dette d’oxygène, ce qui est le cas de 99,9 % des coureurs. Vous devez apprendre le rythme. -Bill Bowerman, célèbre entraîneur de l’université de l’Oregon
  56. N’esquivez pas le repêchage
    « Il faut se glisser derrière quelqu’un qui court à la même allure et, oui, faire du repêchage. Ce n’est pas illégal. Ce n’est même pas une mauvaise forme. Au contraire, c’est tout simplement intelligent ». -Priscilla Welch, ancienne athlète olympique britannique et championne du marathon de New York en 1987
  57. Sortez de l’ornière
    « Accélérez de temps en temps, pendant deux minutes au maximum, puis revenez à votre rythme antérieur. Parfois, c’est tout ce dont vous avez besoin pour vous sortir d’un mauvais pas mental et physique. Choisissez une descente si vous le pouvez, et allongez vraiment votre foulée. -Mark Plaatjes
  58. Adopter le minimalisme
    « L’entraînement au marathon ne doit pas être une corvée. En courant environ 30 minutes deux fois par semaine et en augmentant progressivement la durée d’une troisième course hebdomadaire – la course longue – tout le monde peut terminer un marathon. » -Jeff Galloway
  59. Revenez un peu en arrière
    « Augmentez progressivement votre kilométrage, mais toutes les trois ou quatre semaines, réduisez-le pour récupérer. Cela vous aidera à éviter votre point de rupture ». -Lee Fidler, entraîneur et deux fois qualifié pour les Jeux olympiques américains de marathon.
  60. Ne poussez pas trop loin…
    « Dans l’entraînement au marathon, 3 heures de lenteur valent mieux que 2 heures de vitesse. -Pete Gavuzzi, entraîneur de Gérard Cote, quatre fois champion du marathon de Boston.
  61. . . . Et trop c’est trop
    « Ne courez jamais plus de 3 heures d’affilée à l’entraînement, que votre record au marathon soit de 2h42 ou de 4h24. » -Ed Eyestone
  62. Soyez vigilant
    « Pendant la phase d’entraînement intensif, n’ayez jamais peur de prendre un jour de repos. Si vos jambes sont trop raides et douloureuses, reposez-vous. Si vous êtes un tant soit peu fatigué, reposez-vous. Chaque fois que vous avez un doute, reposez-vous ». -Bruce Fordyce, neuf fois champion du marathon des Comrades en Afrique du Sud.
  63. Chouchoutez vos muscles
    « Lorsque je m’entraîne pour un marathon, je me plonge dans un bain à remous tous les jours et je me fais masser toutes les semaines. -Anne Marie Lauck, double championne olympique
  64. Essayez les combinaisons gagnantes
    « Je prends du fer et de la vitamine C dans mon alimentation pour prévenir l’anémie. Sans cela, je n’aurais pas l’énergie nécessaire pour m’entraîner ». -Joy Smith, marathonienne en 2h34
  65. Savoir quand c’est l’heure du spectacle
    « N’oubliez pas ceci : Personne n’a jamais gagné la couronne d’olivier avec un journal d’entraînement impressionnant ». -Marty Liquori
  66. S’entraîner à temps
    « L’étape clé entre un bon programme d’entraînement et une bonne course est une bonne réduction progressive. Votre dernière longue sortie d’entraînement avant un marathon doit avoir lieu trois semaines avant la course, pas deux. -Pete Pfitzinger, double marathonien olympique américain.
  67. Attendez les poids
    « Si vous faites de la musculation, mettez votre programme de musculation de côté environ un mois avant votre marathon, afin de vous sentir frais le jour J. » -Steve Spence, médaillé de bronze aux Championnats du monde de marathon 1991
  68. Se concentrer sur la distance
    « Plutôt que de vous lancer dans un marathon avec un seul objectif, par exemple finir dans un temps très précis, développez une série d’objectifs afin d’augmenter vos chances de réussite. » -Jerry Lynch, Ph.D., marathonien et auteur de The Total Runner
  69. Ne soyez pas pressé
    « Grâce à la montée d’adrénaline le jour de la course, n’importe quel rythme vous semblera plus facile que d’habitude. Faites donc un effort conscient pour vous retenir dans les premiers kilomètres ». -Lorraine Moller
  70. Diviser par trois
    « Divisez le marathon en trois. Courez la première partie avec votre tête, la partie intermédiaire avec votre personnalité et la dernière partie avec votre cœur ». -Mike Fanelli, coureur et entraîneur
  71. Marchez avant de ramper
    « Lorsque l’on utilise la méthode course-marche pour terminer un marathon, la pause marche la plus importante a lieu au cours du premier kilomètre. La deuxième pause la plus importante a lieu au cours du 3e km, et ainsi de suite. L’essentiel est de marcher avant d’être fatigué ». -Jeff Galloway
  72. Soyez un peu ombrageux
    « Loucher intensément demande plus d’énergie que vous ne pouvez en dépenser sur 42,195 km. Donc, s’il fait soleil ou si vous êtes allergique à la poussière ou au pollen, portez des lunettes de soleil ». -Kim Jones, marathonienne de classe mondiale.
  73. Économisez
    « Pour être efficace sur les 6 derniers kilomètres d’un marathon, il faut avoir des réserves émotionnelles et physiques. -Kenny Moore, écrivain et double marathonien olympique américain
  74. Oubliez-le !
    « Vous devez oublier votre dernier marathon avant d’en essayer un autre. Votre esprit ne peut pas savoir ce qui va se passer ». -Frank Shorter Lignes d’arrivée (Divers)
  75. Trouver une pom-pom girl
    La première raison d’avoir un entraîneur est d’avoir quelqu’un qui dit : « Hé, tu as l’air en forme aujourd’hui ! ». -Jack Daniels, Ph.D.
  76. Soyez un imitateur
    « La visualisation d’une forme de course parfaite vous aidera à rester détendu. Visualisez-la avant la course. Puis, une fois dans la course, choisissez quelqu’un qui a l’air en forme et qui court de manière détendue. Cela vous aidera à faire de même. -Gayle Barron, championne du marathon de Boston en 1978
  77. Ne pas trop réfléchir
    « En course à pied, je suis l’axiome que mon entraîneur Jumbo Elliott de Villanova utilisait : KISS – Keep It Simple, Stupid (rester simple, stupide). -Marty Liquori
  78. Faites des petits pas
    « Vous ne pouvez pas monter au deuxième étage sans échelle. Lorsque vous vous fixez un objectif trop élevé et que vous ne l’atteignez pas, votre enthousiasme se transforme en amertume. Essayez de vous fixer un objectif raisonnable, puis augmentez-le progressivement. » -Emil Zatopek, quadruple médaillé d’or olympique de Tchécoslovaquie
  79. Rassemblez vos forces mentales
    « Continuez à travailler sur l’attitude mentale. Vous devez lutter contre cette voix soi-disant rationnelle qui dit : « J’ai 50 ans et je n’ai plus besoin de faire ça ». -Ken Sparks, Ph.D.
  80. S’entraîner avec quelqu’un…
    « Il peut sembler étrange d’entendre un entraîneur dire cela, mais je pense qu’un très bon partenaire d’entraînement est plus important qu’un entraîneur. -Joan Nesbit, entraîneur et coureuse de classe mondiale
  81. . . . Tout le monde . . .
    « Ne sous-estimez jamais la valeur d’un bon partenaire d’entraînement, même s’il s’agit de votre chien. Les alliés de l’entraînement vous permettront de sortir de chez vous les jours où l’exercice se résume à un doigt sur le bouton de la télécommande. -Rédacteurs de Runner’s World
  82. . . . Mais il faut parfois faire cavalier seul
    « Le lendemain d’une séance d’entraînement intense, je m’entraîne toujours seul. Si vous courez avec quelqu’un d’autre, vous pouvez avoir tendance à pousser plus fort que vous ne le devriez. -Mark Allen, ancien champion Ironman
  83. Trouver une raison
    « Nous courons pour réparer les dommages que nous avons causés à notre corps et à notre esprit. Nous courons pour trouver une partie de nous-mêmes qui n’a pas encore été découverte ». -John « Le Pingouin » Bingham
  84. Sentir la magie …………………..
    « Pour moi, la course à pied est un style de vie et un art. Je suis bien plus intéressée par la magie de la course que par la mécanique. » -Lorraine Moller
  85. . . . Mais faites ce que vous devez faire
    « Si l’on peut s’entraîner pendant de longues années, la volonté n’est plus un problème. Il pleut ? Ce n’est pas grave. Je suis fatigué ? Ce n’est pas la question. C’est simplement que je dois le faire ». -Emil Zatopek.
Nicolas Fondateur de Athlé expliqué

Qui est Nicolas ?

Lillois. 30 ans et 10 ans de pratique de la course à pied. Après avoir conseillé mes amis débutants, j’ai eu l’idée de créer un blog. En 2022, Athlé Expliqué a vu le jour pour vous apporter des réponses en vous donnant des conseils basés sur mes propres expériences.

Ce contenu vous a plu ? Il existe un moyen simple et symbolique pour m’encourager : offrez-moi un café. Cela me permettra de couvrir en partie les frais liés à la maintenance du site et le temps passé sur la rédaction des articles. Bien sûr, il y a des publicités sur Athlé Expliqué, mais pour le moment, ce n’est pas suffisant. Qui sait, un jour, je pourrai les enlever !

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